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Figure 6 D : La partie caudale du locus coeruleus...
...apparaît comme une tache noire colorée par les monoamines
oxydases (6 A). Cette région commande l'inhibition
du tonus musculaire au cours du sommeil paradoxal (6
B). Si l'on détruit cette région par coagulation (6
C), l'inhibition ne peut alors survenir (6 D). L'animal présente
alors un comportement hallucinatoire onirique très spectaculaire
(6 E). Bien qu'il paraisse éveillé,
et qu'il puisse attaquer un ennemi imaginaire, ses pupilles sont en myosis
et il ne réagit absolument pas aux stimulations externes. En même
temps, il présente les signes spécitiques cérébraux
du rêve (pointes PGO). Il est donc légitime de parler de
rêve même chez le chat.
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