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Figure 3
A : éveil ; entre les 2 flèches, vitesse de défilement plus rapide (15 mm/s). Avant la première flèche, éveil les yeux ouverts avec de nombreux mouvements d'observation (voies 8,9) entraînant des artéfacts sur le dérivations frontales (1,2). Au niveau occipItal., l'EEG est rapide et de faible amplitude. Le tonus des muscles mentionniers est élevé. Après la première flèche, fermeture des paupières qui s'accompagne, sur les dérivations occipItal.es (3, 4), du rythme alpha (6-10 Hz) de grande amplitude. B : endormissement ou stade 1 du sommeil C : sommeil léger (stade 2) avec les complexes K caractéristiques (flèches) D, E : sommeil profond (stade 3 et 4). Noter les ondes lentes de grande amplitude sur toutes les dérivations corticales F : sommeil paradoxal avec ses composantes, EEG rapide voisin de l'éveil ou du stade 1, atonie musculaire, mouvements des yeux, irrégularité respiratoire. La flèche indique la fin du SP avec des artéfacts de mouvements corporels. G : hynogrammes résumant 24 heures d'enregistrements polygraphiques. Le premier est celui d'un petit dormeur (6h), le deuxième celui d'un long dormeur (12h) avec 10 heures de sommeil de nuit et 2 heures de sieste. Le sommeil de l'homme, monophasique, présente un rythme circadien très net |